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Chute inquiétante du nombre de gynécologues

Selon une enquête publiée fin décembre par Le Monde, le nombre de gynécologues médicaux (c’est-à-dire hors obstétriciens) aurait chuté de 41,6 % en dix ans. D’après le quotidien, cette baisse serait due « à la décision des pouvoirs publics de ne plus en former entre 1987 et 2003 afin de s’aligner sur les formations des autres pays européens ». Si aujourd’hui on forme chaque année une soixantaine de gynécologues, les effectifs restent insuffisants, notamment pour compenser les départs à la retraite. Conséquence : ils ne seraient plus que 1 136 pour assurer la santé de 28 millions de femmes âgées de plus de 16 ans. Une pénurie qui touche à la fois les déserts médicaux et les zones les mieux dotées : où que l’on se trouve en France, décrocher un rendez-vous devient un véritable parcours du combattant. Et la situation ne devrait pas s’améliorer : si rien n’est fait, entre 2010 et 2025 la France devrait encore perdre plus de mille gynécologues médicaux. Selon les projections de l’Ordre des médecins, ils ne seraient plus que 531 en 2025, contre 1 648 en 2010.

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