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Vers un dépistage généralisé du cancer du col de l’utérus en 2018

Expérimenté avec succès dans treize départements pendant trois ans, le dépistage organisé du cancer du col de l’utérus sera généralisé cette année à l’ensemble du territoire, a annoncé l’agence Santé publique France à l’occasion de la onzième semaine européenne de prévention de la maladie, prévue du 22 au 28 janvier. Chaque année, environ 3 000 nouveaux cas sont diagnostiqués et 1 100 femmes en meurent. Pourtant, ce cancer, consécutif à l’infection au papillomavirus humain (HPV) transmis par voie sexuelle, est « largement évitable », précise l’agence. Actuellement, la prévention repose sur deux dispositifs : la vaccination anti-HPV, proposée à toutes les jeunes filles de 11 à 14 ans (avec un rattrapage pour celles de 15 à 19 ans qui ne seraient pas vaccinées), et le dépistage par frottis cervico-utérin, préconisé tous les trois ans chez les femmes âgées de 25 à 65 ans. Or, la couverture vaccinale demeure encore très faible (moins de 20 % des jeunes filles sont concernées) et 40 % des femmes ne suivent pas les recommandations en matière de frottis. La généralisation du dépistage sur tout le territoire et la simplification de l’accès à la vaccination HPV – deux objectifs inscrits dans le Plan cancer 2014-2019 – devraient permettre d’améliorer ces résultats.

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