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Dépression et réseaux sociaux : les adolescentes sont les plus touchées

Comme le rappellent régulièrement les scientifiques, Internet n’est pas sans danger chez les jeunes qui en abusent. Troubles du sommeil, mauvaise estime de soi, risque de harcèlement… L’utilisation effrénée des réseaux sociaux nuit à la qualité de vie et peut même engendrer des symptômes dépressifs. Une étude britannique, menée par l’University College London et parue dans l’illustre revue médicale The Lancet, met au jour un lien direct de causalité entre le temps passé sur les réseaux sociaux et le risque de souffrir de dépression, notamment chez les filles, qui présentent une plus grande vulnérabilité psychique que les garçons. De plus, ces derniers en feraient un usage plus modéré. Selon les chercheurs, 40 % des filles qui passent plus de cinq heures par jour sur les réseaux sociaux montrent des signes de dépression, contre 15 % des garçons. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont croisé les données d’une vaste étude portant sur les habitudes de près de 11 000 adolescents âgés de 14 ans. En se penchant plus précisément sur le temps qu’ils passaient sur les différents réseaux sociaux, ils ont constaté que l’usage intensif de Facebook, Instagram ou Snapchat induisait des difficultés à dormir et une mauvaise estime de soi et de son corps, pouvant également accroître le risque de dépression. Les chercheurs ont démontré que les adolescentes étaient plus concernées par ces troubles : elles sont 78,2 % à ne pas être satisfaites de leur poids, contre 68,3 % des adolescents, et elles sont 12,8 % à avoir une mauvaise estime d’elles-mêmes alors que cela ne concerne que 8,9 % des garçons. Elles sont aussi plus nombreuses à souffrir de troubles du sommeil. Quant au harcèlement en ligne que subissent les utilisateurs des réseaux sociaux, il est un facteur de risque important pour la santé mentale. Or, il affecte, encore une fois, davantage les jeunes filles que les garçons : 35,6 % d’entre elles déclarent en avoir déjà été victimes, contre 17,4 % des adolescents dépressifs.

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