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Retarder d’un mois le traitement d’un cancer accroît de 6 à 13 % le risque de mortalité

C’est ce qu’affirme une étude parue récemment dans le British Medical Journal. Pour parvenir à ce résultat, des scientifiques britanniques et canadiens ont analysé les conséquences des retards de traitement pour sept types de cancers à partir de 34 études publiées ces vingt dernières années. Et plus le retard est long, plus le risque de mortalité augmente, précisent les auteurs. Ainsi, décaler de douze semaines l’opération de toutes les femmes atteintes d’un cancer du sein nécessitant une chirurgie se traduirait par 6 100 décès supplémentaires en une année aux États-Unis et 1 400 au Royaume-Uni. Des conclusions qui « invitent à la réflexion », estiment les chercheurs, à l’heure où de nombreux hôpitaux ont dû repousser les opérations considérées comme « non urgentes » pour faire face à l’afflux de patients Covid-19 et aux besoins de personnels soignants.

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