ont été signalées par les médecins en 2024. Selon l’observatoire annuel de la sécurité des médecins publié par l’ordre des médecins, ces actes de violence ont augmenté de 26 %, confirmant qu’il ne s’agit plus d’événements isolés mais d’un problème structurel fragilisant l’ensemble de la profession. Les généralistes (63 %) et les médecins exerçant en centre-ville (56 %) sont les plus touchés. Les motifs des incidents sont variés : reproches relatifs à la prise en charge, falsification de documents ou refus de prescriptions figurent parmi les principaux.

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